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Cours-atelier 

"Anthropologie corporelle. Corps et images du corps dans l'Egypte ancienne"

Institut d'égyptologie Khéops, Paris

Un cycle de trois ateliers les 29, 30 et 31 octobre 2019, du mardi au jeudi de 10h à 12h30 et de 14h à 16h30

"Anthropologie corporelle. Corps et images du corps dans l'Egypte ancienne"

Les cours et ateliers de cette année seront consacrés à l’anthropologie corporelle. L’objectif est de définir ce qu’est le corps dans l’Égypte ancienne. Si ce dernier est avant tout une réalité physique et matérielle, il est aussi et surtout « pétri d’imaginaire ». Du corps-sujet au corps des autres, du corps humain au corps divin, du corps vivant au corps mort, nous réfléchirons à la façon dont le corps est perçu, pensé et représenté.

Lieu de la présence de l’homme au monde, lieu de sa relation avec autrui, le corps est l’intime reflet de la culture et des croyances d’une société. L’étude de la notion de corporéité témoigne ainsi d'une façon particulière d' « être au monde ». Si le corps peut dans l’Egypte ancienne être dénommé et représenté de plusieurs façons, il diffère aussi selon qu’il soit nu ou vêtu, caché ou dévoilé, unique ou multiple, figé ou fluctuant, intact ou démembré.

Nous étudierons notamment la transformation du corps mort en un corps animé, non seulement pour les dieux mais aussi et surtout pour les morts. Ce corps stabilisé et transformé par les rituels est en effet au centre des préoccupations religieuses et funéraires des anciens Égyptiens.

Pour ceux et celles qui le désirent, le cours du matin sera complété par un atelier l’après-midi permettant d’approfondir la notion d’image du corps. Si le corps mort, transformé par le rituel de momification et le rituel d’ouverture de la bouche, est la première image du défunt - une image qui le montre vivant par-delà la mort -, il en est de même du masque recouvrant le visage, ainsi que de certaines enveloppes corporelles que nous désignons conventionnellement par les termes de cercueils, de sarcophages ou encore de réceptacles de momie. Nous nous poserons donc la question suivante : Quels sont-ils exactement ? Comment sont-ils nommés, c’est-à-dire pensés ? Qu’est ce que leur forme, leur matière, leur couleur, leur nombre ainsi que leur décoration signifie ? En somme, quelle est leur fonction précise ? Lors de ces ateliers, nous étudierons de manière approfondie différents cercueils et sarcophages de différentes époques afin de développer une méthodologie d’analyse propre à ce type de documents.

Cours

"Corps et images du corps"

Université permanente de Nantes

Un cycle de douze séances, le jeudi de 14h à 16h, les 10 et 17 octobre, 7, 14 et 21 novembre, 5, 12 et 19 décembre 2019, 12 et 26 mars, 2 avril et 7 mai 2020

"Corps et images du corps"

Le cours-atelier de cette année portera sur la notion de corps dans l’Égypte ancienne. Ce dernier, s’il est avant tout une réalité physique et matérielle, n’en est pas moins « pétri d’imaginaire ».

Qu’est-ce que le corps pour les anciens Égyptiens, non seulement le corps-sujet et celui des autres mais aussi le corps des hommes et celui des dieux ou encore le corps des vivants et celui des morts ? Comment est-il perçu, pensé et représenté ?

Lieu de la présence de l’homme au monde, lieu de sa relation avec autrui, le corps est l’intime reflet de la culture et des croyances d’une société. L’étude de la notion de corporéité témoigne ainsi d'une façon particulière d' « être au monde ».

Si le corps peut dans l’Egypte ancienne être dénommé et représenté de plusieurs façons, il diffère aussi selon qu’il soit nu ou vêtu, caché ou dévoilé, unique ou multiple, intact ou démembré.

Nous étudierons notamment la transformation du corps mort en un corps animé, non seulement pour les dieux mais aussi et surtout pour les morts. Ce corps stabilisé et transformé par les rituels est en effet au centre des préoccupations religieuses et funéraires des anciens Égyptiens. Nous poserons la question de la relation entre le corps et son image en prenant pour exemple les multiples enveloppes dans lesquelles la momie est placée (masque funéraire, cercueils, sarcophages, etc.). Ces dernières, généralement considérées comme des réceptacles, sont en effet pour la plupart, des images de ce corps à nouveau vivant, réanimé par-delà la mort.

Ce cours-atelier est ouvert à tous et ne nécessite pas de prérequis.

 

 

Programme

 

  1. Introduction : Données lexicologiques et anthropologiques, images du corps.

  2. Anatomie, physiologie, techniques du corps et autres considérations sur le corps-objet.

  3. Les différentes parties du corps (tête, main, bras, jambes, etc.) et leur connotation symbolique.

  4. Le corps de l’autre et le corps-autre : Différences, possédés et ennemis châtiés.

  5. Du corps nu au corps marqué, vêtu et paré.

  6. Invisibilité, créations et transformations du corps divin.

  7. Démembrement, morceaux du corps et reliques du corps divin.

  8. Préservation, transformation et animation du corps mort (1).

  9. Préservation, transformation et animation du corps mort (2).

  10. Du corps à l’image corporelle (premières enveloppes et masques funéraires).

  11. Du corps à l’image corporelle (cercueils et sarcophages).

  12. Du corps à son réceptacle (enveloppes architecturales et caveaux)

Cours

"Les yeux divins"

Association d'égyptologie Isis, Nantes

Un cycle de cinq cours, le jeudi de 10h à 11h30, les 5 et 19 décembre, 16 et 30 janvier, 6 février 2019

"Les yeux divins"

Les yeux des dieux sont dans la mythologie égyptienne dotés de puissance magique. Non seulement, ils sont créateurs et protecteurs mais aussi destructeurs et en ce sens potentiellement dangereux. Certains, devenus furieux, sont alors capables des pires massacres ; mobiles, il convient dès lors de les retrouver et de les apaiser afin de retrouver l’équilibre cosmique constamment menacé. D’autres encore peuvent être blessés ou mutilés et nécessite d’être guéris et d’en restituer l’intégrité. De l’œil du démiurge aux immenses yeux cosmiques que sont le soleil et la lune, en passant par l’œil oudjat, l’œil d’Horus, l’œil de Rê, l’œil uraeus, l’œil-fleur ou l’œil offrande nous partirons à la découverte de cet organe considéré par les anciens Egyptiens comme celui de la vie.

 

1. L’œil dans l’Egypte ancienne (anatomie, physiologie et symbolique)

2. L’œil créateur : L’œil ou les yeux du démiurge solaire et ses créations.

3. L’œil destructeur : Les yeux des dieux protecteurs, l’œil d’Apophis, le mauvais œil, etc.

4. L’œil blessé et guéri : L’œil , l’œil d’Horus, la lune, le soleil, etc.

5. L’œil mobile et protecteur : l’uraeus, le mythe de la Lointaine.

6. L’œil offrande et la Maât.

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Cours

"Le dieu Seth"

Association d'égyptologie Isis, Nantes

Un cycle de cinq cours, le mardi de 14h15 à 15h45, les 1, 8 et 15 octobre, les 5 et 19 novembre 2019

"Le dieu Seth"

Généralement connu comme étant le meurtrier de son frère Osiris, le dieu Seth n’est pas celui que l’on croit. Il possède en effet une nature plus complexe que celle le résumant au « mauvais ». Il est ainsi l’une des seules divinités à pouvoir neutraliser le serpent Apophis qui chaque nuit tente d’interrompre le cycle solaire. C’est donc un dieu des plus puissants. Mais il possède de nombreux autres aspects qui font de lui une entité hors normes que nous vous proposons d’explorer lors de ce cycle.

 

1. Le meurtrier d’Osiris ?

2. Le nom et les représentations du dieu Seth.

3. Le mythe d’Horus et de Seth

4. Neutraliser le dieu Seth

5. Le dieu des frontières et de l’altérité

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Cycle de cours : "La magie dans l’Égypte ancienne"

Collectif Khéops

Les jeudis 3, 10 et 17 octobre, 7 et 14 novembre 2024, de 14h à 15h30 (5 cours de 1h30).

Uniquement en mode distanciel, Zoom.

"La magie dans l’Égypte ancienne"

. La magie égyptienne est en étroite relation avec la religion et la conception du monde des anciens Égyptiens et notamment avec la notion de valeur créatrice qu’ils accordent aux mots et aux images. L’étude de différents documents - statues-guérisseuses, stèles d’Horus sur les crocodiles, figurines d’envoûtement - nous permettra d’aborder les questions relatives aux liens entre magie et rituel d’une part et, entre rite et mythe d’autre part. Nous verrons qui étaient les prêtres-magiciens ainsi que les divinités régnant sur le monde de la magie. Enfin, nous analyserons les raisons qui font que la magie a connu son plus grand développement à la fin de la civilisation pharaonique, c’est-à-dire à la Basse Époque.

Cycle de cours : Le dieu Seth

Collectif Khéops

. Les jeudis 21, 28 novembre, 5, 12 et 19 décembre 2024, de 14h à 15h30 (cinq cours de 1h30).

Uniquement en distanciel (via Zoom).

"Le dieu Seth"

 

. Généralement connu comme étant le meurtrier de son frère Osiris, le dieu Seth n’est pas celui que l’on croit. Il possède en effet une nature plus complexe que celle le résumant au « mauvais ». Il est ainsi l’une des seules divinités à pouvoir neutraliser le serpent Apophis qui chaque nuit tente d’interrompre le cycle solaire. C’est donc un dieu des plus puissants. Mais il possède de nombreux autres aspects qui font de lui une entité hors normes que nous vous proposons d’explorer lors de ce cycle.​

 

Atelier : "Les tissus, textiles et vêtements de l'Egypte ancienne"

Institut d'égyptologie Khéops, Paris

Hiver 2024 : du 20 au 22 février 2024, du mardi au jeudi de 10h à 13h, trois ateliers.

"Les tissus, textiles et vêtements de l’Égypte ancienne"

. Après avoir, par le biais de l'anthropologie, abordé la notion de "corps" et notamment les parures corporelles que sont les bijoux, nous nous proposons cette année d'étudier les textiles, tissus et autres vêtements principalement connus par les textes , mais aussi par de nombreuses images. Quels sont les différents types de vêtements , leurs dénominations, les matières dont ils sont composés, les techniques utilisés par les artisans (tisserands, teinturiers ou brodeurs), les fonctions de ces tissus qui sont loin d'être simplement esthétiques, notamment en contexte funéraire ou divin. Certains habits sont ainsi marqueurs de hautes fonctions; d'autres, dans les sanctuaires, constituent des offrandes faites aux dieux; et d'autres encore, ceux qui composent le mobilier funéraire, participent de la renaissance du défunt par-delà la mort, telles les bandelettes qui enveloppent la momie. Si les vêtements cachent la nudité, voire embellissent et protègent, ils créent en effet, et avant tout, un corps signifiant, c'est-à-dire un corps de culture, à la rencontre duquel nous nous proposons d'aller.

Atelier : "Le Rituel du culte divin journalier"

Institut d'égyptologie Khéops, Paris

Printemps 2024 : du 16 au 18 avril 2024, du mardi au jeudi de 10h à 13h, trois ateliers.

"Le Rituel du culte divin journalier"

. Le Rituel du culte divin journalier constitue le rituel du temple par excellence. Il est celui qui est pratiqué tous les jours, dès l'aube, devant les statues divines de culte, dans tous les sanctuaires du royaume. Quelle est son origine ? Comment se déroule t-il ? Par qui est-il accompli et devant quel type d'image ? Quelles sont ses finalités ? À l'aide de différentes sources textuelles et iconographiques, nous tenterons de reconstituer ce rituel dont le but premier est de maintenir la présence divine sur terre. Nous en profiterons non seulement pour rappeler ce qu'est un rituel, mais également, pour établir des comparaisons avec le rituel funéraire de la momification ainsi qu'avec le Rituel de l'Ouverture de la bouche, avec lequel il partage de nombreux points communs.

Conférence : "Le dieu Chou"

Association d'égyptologie Egyptologica, Bruxelles

Le samedi 23 mars 2024, de 14h à 16h.

"Le dieu Chou"

 

. Informations à venir.

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Conférence : "Parures de corps : bijoux et ornements dans l'Egypte ancienne"

Association d'égyptologie Egyptologica, Bruxelles

Le samedi 25 mai 2024 de 14h à 16h.

"Parures de corps : bijoux et ornements dans l’Égypte ancienne"

. Informations à venir.

 

 

 

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